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Francis Besson

Francis BESSON a étudié le saxophone jazz au Conservatoire de Mantes-la-Jolie de 1982 à 1988 avec Pierre-Louis Garcia, multi-instrumentiste, compositeur pour le cinéma, la danse contemporaine et producteur. Il s’est par la suite perfectionné au CIM de 1989 à 1992 où il a étudié le saxophone avec Xavier Cobo ainsi que l’harmonie jazz avec Philippe Baudoin (auteur d’un traité d’harmonie jazz faisant référence) et JeanClaude Fohrenbach.

Il enseigne pendant plusieurs années à l’Ecole de musique Azim’UT d’Orgeval tout en se produisant avec plusieurs groupes d’influences jazz, funk et africaines.

C’est lors de sa participation à un groupe local de Mantes-la-Jolie qu’il fait la rencontre de Mohammed Mestar, éditeur, producteur et manager de Faudel, Rachid Taha, « 1,2,3 Soleil », Cheb Bilal, Pak Farinas, Casa de la Trova, et Sting pour l’album « Desert Rose » avec Cheb Mami.
Plutôt attiré par la composition, Francis BESSON décide d’abandonner le milieu professionnel pour pouvoir se consacrer à ses recherches musicales en parallèle de son travail dans l’informatique.

Il compose et réalise en 2008 l’ensemble des musiques pour le one woman show de Rachida Khalil « L’Odyssée de ta race » avec notamment une version orientale de La Marseillaise, spectacle qui sera joué au Théâtre des Mathurins à Paris.
Le jazz fusion est l’univers musical avec lequel Francis BESSON a grandi. L’écoute et l’étude de groupes tels que Steps Ahead, Brecker
Brothers, YellowJackets, Shakti et Mickael Brecker ont laissé une empreinte forte sur ses conceptions musicales : groove, richesses des rythmes et des harmonies, performance des improvisateurs et métissage musical.

Amoureux de l’électro depuis toujours, Francis BESSON y retrouve certains « codes » du jazz exprimés par le mixage créatif et plus particulièrement la « Trance », élément fondamental de la musique pour lui. Son objectif en tant que compositeur consiste à marier les instruments, mélodies et grooves du monde avec une base électro pour une musique à la fois dansante et riche musicalement.

Ses compositions, bien qu’électro, se veulent proches du jeu « acoustique » par l’usage de boites à rythmes et synthés Elektron grâce
auxquels une véritable interaction avec les musiciens est possible.

Il retrouve Mohammed Mestar après de nombreuses années et commence une collaboration avec lui pour la production du titre « Tale from two easts ». En tant que producteur exécutif, Mohammed a permis la rencontre de musiciens et ingénieurs du son majeurs pour l’enregistrement :

 

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